Rona et St-Hubert ont marqué l’actualité économique
La Presse Canadienne | Lapresse.caPlus de quatre ans après une première approche ayant provoqué une levée de boucliers, le numéro deux de la rénovation aux États-Unis met finalement la main, en février, sur le quincaillier fondé en 1939 pour 3,2 milliards $, incluant la dette. Deuxième plus important actionnaire de RONA à l’époque avec une participation de 17 %, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) accepte de déposer ses actions. La transaction suscite des inquiétudes, notamment chez plusieurs fournisseurs québécois, qui craignent de perdre un important client.
«Plusieurs gestes posés par la direction de RONA, comme la fermeture de magasins jugés non rentables, l’élimination des franchisés et le rachat d’actions ont eu pour effet de rendre l’entreprise plus attrayante pour un acheteur comme Lowe’s», observe Yvan Allaire, président directeur du conseil d’administration de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques, sans toutefois présumer des intentions du dirigeant Robert Sawyer. Lire la suite
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